​L'Étude VOGEL plaide pour ceux qui ont connu un point de chute.

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L'Étude VOGEL est d'avis que nous sommes tous des saltimbanques et que personne n'est à l'abri d'une brisure.

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L'Étude VOGEL voit la criminalité sous le prisme dostoïevskien. Pour ce grand écrivain, l'homme est un monstre de rêve qui se débat en permanence avec ses contradictions, ce qui fait penser à cette réflexion de Nietzsche quand il écrit dans le cadre du cas Wagner :

« Nous avons dans les veines, à notre insu et malgré nous, des velléités, des valeurs, un vocabulaire, des formes et des formules, des normes et des morales de provenance adverses (...). Pour porter un diagnostic sur l'âme moderne - par où devrait-on commencer? Par un coup de bistouri résolu dans cette inconciliable opposition des instincts, par une mise à nu de leurs valeurs en conflit. »